317 liens privés
Elle recommande aussi qu'une future actualisation du référentiel rende obligatoire l’audit des systèmes de vérification de l’âge et de leur bonne mise en place par les services concernés. Celui-ci devrait, selon elle, s’attacher « à vérifier notamment la bonne prise en compte des exigences relatives à la protection des données et de la vie privée ».
Juridique : La justice oppose une fin de non recevoir à l'association Ouvre Boite, qui demandait la diffusion complète du code source de l'algorithme Parcoursup. L'argument invoqué pour motiver le refus est lié à la présence de nombreuses vulnérabilités dans le code source.
La vision paternaliste qui se dégage de ce filtre « anti-arnaque » montre bien la philosophie de l’ensemble de ce projet de loi : réguler Internet par l’excès d’autorité. Taper du poing sur la table, montrer que le gouvernement agit même si cela est parfaitement inefficace, et finalement sacrifier les libertés fondamentales sur l’autel du marketing politique en se ménageant de nouveaux moyens de surveillance et de censure. Le législateur ne doit pas tomber dans le piège, tendu par la commission spéciale, d’un « filtrage » qui serait acceptable : ce texte prévoit bel et bien une censure administrative par les navigateurs inacceptable en elle-même. Il est donc fondamental que cet article 6 et, au-delà, l’ensemble du projet de loi soient rejetés. Alors pour nous aider à continuer à défendre un Internet libre, vous pouvez nous faire un don !
En juillet, l’Ademe a accordé 5 millions d’euros au pétrolier pour un projet de récupération de chaleur de la plus grande raffinerie du pays, près du Havre. Édouard Philippe, maire de la ville normande et proche du président d’alors de l’agence, a appuyé le dossier auprès de l’organisme public.
Après un contact direct avec le président Macron, la société française de cybersurveillance Nexa a utilisé Alexandre Benalla comme intermédiaire pour tenter de vendre des logiciels espions à l’Arabie saoudite, malgré l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi. Un an et demi après la découverte de ces faits très embarrassants pour l’Élysée, l’enquête judiciaire traîne.
glaçant
« Pour créer une identité numérique vous devez être majeur(e) et disposer d'un smartphone Android ou iPhone. »
Que QWA COMMENT !;:!
Si la loi est adoptée en l’état, ce qui n’est pas du tout assuré, les œuvres générées devraient être accompagnées de la mention « œuvre générée par IA », avec au surplus la liste nominative des auteurs ayant permis d’aboutir à l’image, au son ou au texte final. Et quand il sera impossible d’identifier ces sources, les élus imaginent une taxe sur l’IA, dont le montant serait fixé par décret. Ses fruits tomberaient directement dans les poches des sociétés de gestion collective. Le député Vuilletet en est persuadé : cette mesure incitera les systèmes d’IA « à respecter le droit d’auteur et à favoriser la création, renforçant ainsi l’exception culturelle française. »
L’apaisement par les menaces et l'outrance... Il n'y a pas à dire soit c'est du génie et je pige pas c'est trop subtil pour moi soit c'est l’alliance de toutes les droites contre la population et c'est une très mauvaise nouvelle
Le nouveau monde ressemble vachement à l'ancien je trouve, l'amateurisme en plus...
« Le principal danger pour la démocratie est la persistance de manquements à la probité parmi des responsables politiques », expliquait le président en avril 2017. Seulement, depuis son arrivée à l’Élysée, les affaires se multiplient dans son entourage proche. Mediapart en a dénombré près d’une quarantaine.
Lors d’un échange au Bled Strategic Forum, Petr Očko, secrétaire d’État tchèque en charge du numérique, a décrit comment la France avait fait pression sur son pays pour sauver le calendrier du projet de loi Séparatisme. Explications.
Macron a perçu 2,8 millions d'euros, de 2008 à 2012, lorsqu'il était banquier chez Rothschild. Mais sa déclaration de 2014 fait état d'un patrimoine de 1,2 million d'euros et d'un endettement de plus d'un million, soit un actif net inférieur à 200.000 euros. Anticor constate un " manque de cohérence entre les revenus et le patrimoine déclarés "
Selon nos informations, les vues de l’ALPA porte essentiellement sur un système d’amende forfaitaire qui ne concernerait que les mises à disposition sur les réseaux peer-to-peer, donc non le direct download ni le streaming.