L’entreprise américaine n’affichera tout simplement plus les extraits d’actualités. Seuls perdureront les liens hypertextes, lesquels font l’objet d’une exception prévue par le législateur. L’affichage de ces « snippets » ne disparait pas. Il va devenir une option ouverte aux éditeurs et agences. Conclusion : s’ils l’activent, ce sont eux qui en prendront la responsabilité et… ne seront donc pas rémunérés.
Nous ne voulons pas devenir la « solution par défaut », et centraliser vos usages et vos attentions (c’est comme ça qu’on a créé des géants du web) ;
38 services c’est une trop grande diversité et complexité de logiciels à aborder (pour vous) ainsi qu’à maintenir et promouvoir (pour nous) ;
Nous voulons rester une association à taille humaine, à chaleur humaine… une espèce d’AMAP du numérique ;
Nous proposons donc une nouvelle étape dans la décentralisation des données :
Fermer progressivement des frama-services pour en faire des portes qui vous renvoient vers d’autres hébergeurs ;
Prendre le temps de mettre en place une autre proposition simplifiée pour les usager·es (qui offrira par exemple un compte unique).Éric Léandri : Nous travaillons dessus. Nous avons recruté un CTO de classe mondiale, en la personne d'Olivier Hebert, qui est l'ancien CTO de Fairphone et qui a à son actif les Fairphone 2 et 3. Il s'occupe de toute la partie hardware, avec une équipe dédiée. Nous aurons bientôt des choses sympas à vous montrer.
Tanya X. Short insiste toutefois sur une chose : le meilleur moyen d’aider les frères Adams consiste à leur envoyer un don sur Patreon (Nouvelle fenêtre). Les ventes de Dwarf Fortress sur les boutiques en ligne serviront uniquement à atteindre un public plus large qui ne connaît pas nécessairement le jeu actuellement.
Valve interdit la revente du compte en ayant pris soin de ranger dans ce tiroir un fourre-tout « inextricable » d’informations : données personnelles, données sur l’activité du joueur, données relatives aux achats numériques, dont les objets virtuels, outre une ribambelle de services. Mais pour le TGI, peu importe : la plateforme opère bien une cession d’un jeu et au regard des textes européens, il est impératif d’autoriser leur vente d'occasion :
« Le titulaire du droit concerné ne peut plus s’opposer à la revente de cette copie (ou exemplaire) même si l’achat initial est réalisé par voie de téléchargement. L’éditeur du logiciel (ou ses ayants-droit) ne peut plus s’opposer à la revente de cette copie ou exemplaire, nonobstant l’existence de dispositions contractuelles interdisant une cession ultérieure. »