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Cette décision d’illégalité est une victoire sans précédent dans notre lutte contre la VSA. Les habitant·es de toute ville, à l’instar de Saint-Denis, Reims ou encore Brest qui ont choisi de mettre en place ce type de surveillance algorithmique, peuvent légitimement en demander l’arrêt immédiat. Les promoteurs politiques et économiques de la Technopolice doivent faire face à la réalité : leurs velléités de surveillance et de contrôle de la population n’ont pas leur place dans notre société. La CNIL n’a plus d’autre choix que d’admettre son erreur et sanctionner les communes qui continueraient d’utiliser de la VSA.
Le député réaffirme : « ma vraie crainte, c’est la fuite de données. Ils n’ont pas compris comment il fallait qu’ils conteneurisent les informations, comment il fallait faire des archivages définitifs et intermédiaires. Et sur la gestion des accès, liée au nombre de personnes qui vont avoir accès à ces informations, je crains des fuites de données et ils ne pourront pas dire qu’ils n’ont pas été prévenus ».