En 2022, le Tribunal annulait l’amende car « l’analyse réalisée par la Commission [était] incomplète ». Il précisait ne pas être en mesure « d’identifier le montant de l’amende afférent uniquement aux restrictions non déguisées », laissant à la Commission la possibilité de recalculer son montant. C’est désormais chose faite : 376,36 millions d’euros pour abus de position dominante, soit trois fois moins que le montant initial. La procédure a donc mis 13 ans pour en arriver là. Ce n’est pas encore obligatoirement la fin, car le recours de la Commission contre l'annulation par le Tribunal de la décision de 2009 n’est toujours pas terminé.
C’est ce que révèle The Record. Composé de huit experts, il s'apprêtait à demander des comptes aux organismes du secteur public sur la manière dont ils utilisaient les technologies et les algorithmes d'intelligence artificielle dans l'exercice de leurs fonctions officielles.
En résumé, soyez toujours vigilants face aux messages inattendus, surtout ceux qui vous demandent de divulguer vos informations personnelles. Si vous avez le moindre doute, contactez directement votre établissement. La sécurité en ligne est l’affaire de tous, et la vigilance est la première ligne de défense contre les attaques de phishing.
Condamné en 2013 pour atteintes sexuelles sur mineur, un prêtre de l’évêché de Cahors est toujours en poste dans le département, où il bénéficie du soutien du diocèse. Pour avoir rompu l’omerta, sa victime a, elle, été renvoyée du séminaire.
The laundromat. Last week, Swedish newspaper Svenska Dagbladet published a bombshell. The story, titled “Spotify has become an ATM for criminals”, explains how gangs use the streaming platform to launder money. Cash from drug sales is converted to bitcoin. The cryptocurrency is then used to pay “click farms” that play songs from artists signed on record labels that are close to the gangs. Said labels receive a payout from Spotify, which is – I assume, this is not detailed in the piece – given back to the gangs as perfectly legal dividends.
Si la loi est adoptée en l’état, ce qui n’est pas du tout assuré, les œuvres générées devraient être accompagnées de la mention « œuvre générée par IA », avec au surplus la liste nominative des auteurs ayant permis d’aboutir à l’image, au son ou au texte final. Et quand il sera impossible d’identifier ces sources, les élus imaginent une taxe sur l’IA, dont le montant serait fixé par décret. Ses fruits tomberaient directement dans les poches des sociétés de gestion collective. Le député Vuilletet en est persuadé : cette mesure incitera les systèmes d’IA « à respecter le droit d’auteur et à favoriser la création, renforçant ainsi l’exception culturelle française. »