317 liens privés
« Ces zones d’ombre traduisent un défaut de pilotage que le ministère de l’Intérieur et des outre-mer admet lui-même : l’article 6 du projet de loi relatif aux JOP 2024 abroge ainsi l’article L. 251-7 du CSI [code de la sécurité intérieure, ndlr], qui prévoit la remise à la CNIL d’un rapport annuel portant sur l’activité des commissions départementales. Cette obligation d’information est restée lettre morte depuis 2013, ce qui justifie, selon le Gouvernement, d’en tirer les conséquences dans la loi. »
L’apaisement par les menaces et l'outrance... Il n'y a pas à dire soit c'est du génie et je pige pas c'est trop subtil pour moi soit c'est l’alliance de toutes les droites contre la population et c'est une très mauvaise nouvelle
Attention, certaines images présentées dans cette vidéo peuvent être choquantes.
Un travail au long cours de l’organisation #ShePersisted détaille comment la misogynie est utilisée en ligne pour saper la liberté d’expression des femmes et menacer certains fondements démocratiques. Point notable : les plateformes numériques tirent profit de la violence ambiante.
Le classement de cette pétition envoie un double message : que la commission des lois a arrêté de faire du droit et que les citoyens n’ont aucun moyen institutionnel et pacifique de faire valoir leur opinion concernant le maintien de l’ordre.
Je ne sais pas quelles sont les instructions qui ont été données aux forces de l’ordre, mais la réponse sur le terrain m’a paru largement disproportionnée. On savait que les manifestations auraient lieu, malgré l’interdiction, et que malheureusement, elles seraient infiltrées par des éléments violents dont certains n’ont rien à voir avec la défense de l’environnement. Dans la mobilisation massive des forces de l’ordre pour bloquer les manifestants et les méthodes employées, on retrouve des modes d’action qu’on avait vus lors du mouvement des « gilets jaunes » : on empêche des gens d’aller manifester, on arrête préventivement, on procède à des palpations injustifiées, on confisque du matériel.
Rapporteur pour la pétition « pour la dissolution de la BRAV-M »
« La dissolution d’une force spéciale de police ne relève pas du législateur », souligne le député rapporteur à « l’Obs ». Mercredi 5 avril, il devra proposer soit de classer la pétition, soit de l’examiner en interne. Son unique critère, promet-il : « Voir en quoi la pétition rentre dans le champ des compétences de la commission. » S’il affirme que son avis n’est pas tranché, la pétition n’a pas, selon lui, « d’entrée d’ordre législatif ». « La BRAV-M a été mise en place par le préfet de police de Paris et ne peut être retirée que par lui », assure-t-il.