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The laundromat. Last week, Swedish newspaper Svenska Dagbladet published a bombshell. The story, titled “Spotify has become an ATM for criminals”, explains how gangs use the streaming platform to launder money. Cash from drug sales is converted to bitcoin. The cryptocurrency is then used to pay “click farms” that play songs from artists signed on record labels that are close to the gangs. Said labels receive a payout from Spotify, which is – I assume, this is not detailed in the piece – given back to the gangs as perfectly legal dividends.
Si la loi est adoptée en l’état, ce qui n’est pas du tout assuré, les œuvres générées devraient être accompagnées de la mention « œuvre générée par IA », avec au surplus la liste nominative des auteurs ayant permis d’aboutir à l’image, au son ou au texte final. Et quand il sera impossible d’identifier ces sources, les élus imaginent une taxe sur l’IA, dont le montant serait fixé par décret. Ses fruits tomberaient directement dans les poches des sociétés de gestion collective. Le député Vuilletet en est persuadé : cette mesure incitera les systèmes d’IA « à respecter le droit d’auteur et à favoriser la création, renforçant ainsi l’exception culturelle française. »
Une étude de Forrester Consulting indique que 94% des directions interrogées estiment avoir effectué des dépenses évitables liées à l’informatique dans le cloud : surdimensionnement des ressources, oubli de libérer des ressources inutilisées, absence de capacités adéquates pour gérer les ressources…
Selon une autre étude menée par Everest Group, 67% des entreprises interrogées déclarent ne pas tirer la valeur escomptée de l’informatique dématérialisée. « Le cloud n’est pas moins cher et ne débarrasse pas de la redondance, les deux arguments en faveur du cloud public dont nous étions tous convaincus il y a 10 ans », affirme Abhishek Singh, responsable de la transformation cloud chez Everest. « Les hyperscalers ont donné l’impression que tout était en libre-service, mais en réalité ce n’était pas le cas, comme le montrent les activités florissantes des intégrateurs de systèmes qui en ont fait leur métier ».
Dans l’arrêt que l’Informé diffuse, la juridiction d’appel a en effet rappelé que jeter le discrédit sur un produit ou un service est en principe un acte de dénigrement susceptible d’ouvrir droit à réparation. Mais tel n’est plus le cas lorsque les propos fleuris se rapportent « à un sujet d’intérêt général » et reposent « sur une base factuelle suffisante »
Dès les premiers échanges, Signal-Arnaques avait refusé de supprimer ces discussions, faute de disposer des compétences « pour se prononcer sur le caractère licite ou illicite des propos dont le retrait est demandé ». La justice lui a donc donné raison. Contacté par l’Informé, maître Hardouin salue aujourd’hui une décision qui « prend en considération tant le modèle d’affaires des plateformes d’avis que la liberté d’expression des utilisateurs. On ne peut que s’en réjouir. Cette décision confirme que les demandes de retrait doivent s’inscrire dans une procédure rigoureuse voire contradictoire et respecter les équilibres entre les intérêts en cause ».
Dans un arrêt du 30 septembre 2023, la chambre commerciale, financière et économique de la Cour de cassation rappelle que, sauf agissement frauduleux du client d’une banque, ce dernier ne supporte aucune conséquence financière si une opération de paiement non autorisée a été effectuée sans que le prestataire de services de paiement du payeur n’exige une authentification forte du payeur, prévue par l’article L. 133-44 du code monétaire et financier dans sa rédaction issue de l’ordonnance du 9 août 2017.
L’ANFR explique qu’elle réalise des vérifications sur les téléphones portables commercialisés en France, dans le cadre de sa mission de contrôle de l’exposition des Français aux ondes électromagnétiques. On apprend qu’elle a récemment contrôlé les débits d’absorption spécifique (DAS) de 141 modèles, dont l’iPhone 12 d’Apple. Le DAS correspond à « l’énergie transportée par les ondes électromagnétiques et absorbée par le corps humain. »
Pétition de Mozilla pour protéger Firefox
Peu importe si, pour se faire, le technicien a coupé 10 autres clients, a à moitié détruit l'armoire, posé la jarretière n'importe comment, remis le PBO sans l'avoir refermé au fond de la chambre ou sur le poteau, et bien évidemment posé le câble et le boitier de raccordement en dépit de tout début de commencement de bon sens. Bien sûr, le tout sans respecter la moindre règle de sécurité. Peu importe aux OC, du moment que l'épave roule encore... ».
Ayé ! L'intégration du-site-que-vous-savez ne fonctionne plus sur mon tableau de bord nextcloud car le-patron-que-vous-savez n'aime pas les applications tierces
403 Forbidden response: {"errors":[{"message":"You currently have access to a subset of du-site-que-vous-savez API v2 endpoints and limited v1.1 endpoints (e.g (truncated...)
L'ONG noyb, de son côté, déplore que ce nouveau cadre transatlantique de protection des données personnelles soit « en grande partie une copie du "Privacy Shield" », qui avait été invalidé dans l'arrêt « Schrems II », suite à l'invalidation du précédent mécanisme de « Safe Harbor » par l'arrêt « Schrems I », et qu'il « sera probablement renvoyé devant la Cour de justice (CJUE) dans quelques mois » :
« Dans l'ensemble, le nouveau "cadre transatlantique de protection des données" est une copie du Privacy Shield (de 2016), qui était lui-même une copie du "Safe Harbor" (de 2000). Étant donné que cette approche a déjà échoué à deux reprises, il n'y avait pas de base juridique pour ce changement de cap - la seule logique d'un accord était politique. »