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Les "formes de privilèges" dont bénéficient les élus pourraient être pointées — et discutées —, et la corruption combattue, si la loi sur la tranparence de la vie publique était suivie à la lettre. Ce qui n'est pas le cas et que souligne le site Projet Arcadie. La corruption réelle ou imaginaire des représentants politiques ne peut être combattue que par la transparence et toute forme d'opacité, même la plus légère ne peut qu'accroître une défiance populaire en plein essor : les 90% de parlementaires indélicats devraient vite se plier à la règle du jeu et finir de remplir leur déclaraction d'intérêt. Au risque, s'ils ne le font pas, de véritablement finir de convaincre la population que le "tous pourris" est la règle. En plein Grand débat national "de réconciliation", cela serait très dommage.