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Le cloud oui, celui de Microsoft non. Voilà comment on pourrait résumer la doctrine gouvernementale sur l'hébergement de données au sein des ministères. Il est désormais interdit aux agents publics d'utiliser Microsoft 365, suite bureautique hébergée sur le cloud, sauf pour les projets de migration déjà très avancés. Cette interdiction vise à protéger "les données sensibles" des griffes des autorités américaines.
Comment avoir un avatar rogné-à-la-mode
La guerre des cookies touche à sa fin. Google introduit en masse sa solution FLoC sur Chrome et c'est très invasif. Moralité : désinstallez chrome.
Google also says that “72% of users feel that almost all of what they do online is being tracked... and 81% say the potential risks from data collection outweigh the benefits,”
Dans la ligne de la nouvelle doctrine “cloud au centre” de l’État, qui impose le recours à des solutions sécurisées et protégées des ingérences étrangères, le directeur interministériel du numérique de l’État interdit aux ministères de migrer vers la suite bureautique de Microsoft hébergée dans le cloud, Office 365, mais leur concède des marges de manœuvre.
La CNIL a prononcé une sanction de 3 000 euros à l’encontre de la Société nouvelle de l’annuaire français (SNAF), notamment pour ne pas avoir respecté les droits des personnes concernées.
Durant les six mois de présidence française au Conseil de l’Union européenne, Guillaume Poupard espère impulser le sujet cyber au niveau des États membres. Au FIC, le numéro un de l’ANSSI n’a pas caché ses espoirs de bâtir de vrais clouds « souverains », échappant aux règles extraterritoriales des pays tiers.