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via le cher @sebsauvage
La très controversée proposition de règlement européen « relatif aux abus sexuels commis sur des enfants » a discrètement, mais activement, été soutenue par une ONG états-unienne commercialisant, par ailleurs, un logiciel de reconnaissance des contenus pédosexuels.
On September 26, 1983, Stanislav Petrov made the correct decision to not trust a computer. The early warning system at command center Serpukhov-15, loudly alerting of a nuclear attack from the United States, was of course modern and up-to-date. Stanislav Petrov was in charge, working his second shift in place of a colleague who was ill. Many officers facing the same situation would have called their superiors to alert them of the need for a counter-attack. Especially as fellow officers were shouting at him to retaliate quickly before it was too late. Petrov did not succumb.
The laundromat. Last week, Swedish newspaper Svenska Dagbladet published a bombshell. The story, titled “Spotify has become an ATM for criminals”, explains how gangs use the streaming platform to launder money. Cash from drug sales is converted to bitcoin. The cryptocurrency is then used to pay “click farms” that play songs from artists signed on record labels that are close to the gangs. Said labels receive a payout from Spotify, which is – I assume, this is not detailed in the piece – given back to the gangs as perfectly legal dividends.
Une étude de Forrester Consulting indique que 94% des directions interrogées estiment avoir effectué des dépenses évitables liées à l’informatique dans le cloud : surdimensionnement des ressources, oubli de libérer des ressources inutilisées, absence de capacités adéquates pour gérer les ressources…
Selon une autre étude menée par Everest Group, 67% des entreprises interrogées déclarent ne pas tirer la valeur escomptée de l’informatique dématérialisée. « Le cloud n’est pas moins cher et ne débarrasse pas de la redondance, les deux arguments en faveur du cloud public dont nous étions tous convaincus il y a 10 ans », affirme Abhishek Singh, responsable de la transformation cloud chez Everest. « Les hyperscalers ont donné l’impression que tout était en libre-service, mais en réalité ce n’était pas le cas, comme le montrent les activités florissantes des intégrateurs de systèmes qui en ont fait leur métier ».
Dans l’arrêt que l’Informé diffuse, la juridiction d’appel a en effet rappelé que jeter le discrédit sur un produit ou un service est en principe un acte de dénigrement susceptible d’ouvrir droit à réparation. Mais tel n’est plus le cas lorsque les propos fleuris se rapportent « à un sujet d’intérêt général » et reposent « sur une base factuelle suffisante »
Dès les premiers échanges, Signal-Arnaques avait refusé de supprimer ces discussions, faute de disposer des compétences « pour se prononcer sur le caractère licite ou illicite des propos dont le retrait est demandé ». La justice lui a donc donné raison. Contacté par l’Informé, maître Hardouin salue aujourd’hui une décision qui « prend en considération tant le modèle d’affaires des plateformes d’avis que la liberté d’expression des utilisateurs. On ne peut que s’en réjouir. Cette décision confirme que les demandes de retrait doivent s’inscrire dans une procédure rigoureuse voire contradictoire et respecter les équilibres entre les intérêts en cause ».