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« Aucune donnée biométrique » ne sera utilisée, et il n'y aura pas de reconnaissance faciale aux Jeux Olympiques, confirme le ministère des Sports au Parisien : « le gouvernement vient de trancher, pour éviter un procès en surveillance généralisée », précise son article intitulé « Paris 2024 : pas de reconnaissance faciale aux JO ». Il n'en confirme pas moins le recours à des algorithmes « intelligents » de détection de comportements « suspects ».
Les données des patients des hôpitaux britanniques vont entrer dans le système Palantir
Le gouvernement britannique s'apprête à extraire des données hospitalières vers le système Palantir sans le consentement des patients
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Lors de la refonte du fichier des comptes bancaires (Ficoba), Bercy a voulu le transformer en fichier des opérations bancaires, qui lui aurait permis d’accéder en temps réel à nos relevés de compte. Un projet finalement bloqué par la Dinum, faute de base légale.
En outre, « la transmission, en clair, d’un mot de passe qui n’est ni temporaire, ni à usage unique et dont le renouvellement n’est pas imposé, le rend aisément et immédiatement utilisable par un tiers qui aurait un accès indu au message qui le contient », précise la délibération.
les enregistrements vidéos avaient fourni des preuves dans 6,7 % des enquêtes élucidées.
Le Département du commerce américain accuse en effet NSO Group d’avoir « commercialisé un outil numérique mis au service de la répression de dissidents, militants et journalistes » et d'avoir « participé à des activités contraires à la sécurité nationale ou aux intérêts de politique étrangère des États-Unis ».
5 millions d'individus, soit près de 10 % de la population française de plus de 20 ans, figurent au fichier national automatisé des empreintes génétiques. 75 % d'entre-eux sont présumés innocents, faute d'avoir été condamnés pour ce qui leur a valu d'être fichés, mais y figurent toujours comme « suspects ». En y incluant les personnes indirectement identifiables, cela représente plus du tiers de la population française.
l’article ne constitue pas, contrairement à ce que soutient le demandeur, une atteinte disproportionnée au droit au respect de sa vie privée qui serait de nature à remettre en cause ce constat dès lors d’une part que la condamnation pénale évoquée dans l’article a déjà été prononcée en audience publique et a fait l’objet de divers articles de presse, ce qui est de nature à relativiser l’atteinte éventuellement portée par son rappel dans l’article, qu’il n’est d’autre part pas justifié d’une diffusion importante dudit article.