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La RATP a expérimenté depuis 2016 à Châtelet-les-Halles, un dispositif de détection automatique d'évènements à partir des caméras déployées dans ses espaces. Concrètement, il s'agit d'algorithmes capable de repérer des situations anormales (mouvements de foule, comportements violents ou objets délaissés par exemple) et de donner l'alerte afin que, le cas échéant, une intervention humaine puisse être déclenchée.
Suppression des contenus, filtrage : ce qui va vraiment changer avec la loi contre la haine en ligne
Le Syndicat de la magistrature souhaite que soit “revu le périmètre des contenus visés, celui-ci étant très large et pouvant quasiment englober tout sujet d’expression visant de près ou de loin la dignité humaine”.
Au total, Clearview AI aurait proposé ses services à au moins 26 pays en sus des États-Unis, se rapprochant d'agences nationales d'application de la loi, d'organismes gouvernementaux et de forces de police en Australie, Belgique, Brésil, Canada, Danemark, Finlande, France, Irlande, Inde, Italie, Lettonie, Lituanie, Malte, Pays-Bas, Norvège, Portugal, Serbie, Slovénie, Espagne, Suède, Suisse et Royaume-Uni.
PBS a demandé si Clearview vendait dans des pays où l'homosexualité est un crime, mais l'entreprise n'a pas répondu. Elle aurait ainsi déjà fourni son logiciel à des organisations dans des pays criminalisant les personnes LGBTQ, comme l'Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis.
Depuis quelques années, un phénomène grandit, inacceptable. De plus en plus, nos agriculteurs sont visés par des intimidations, des dégradations, des insultes. Des individus s’introduisent dans leurs exploitations agricoles et les bloquent. Ils font des films aux commentaires orduriers, avant de jeter les exploitants en pâture sur les réseaux sociaux. Parfois même, les intrus dégradent, cassent et volent.
Sept ans d'expérimentation et aucune réussite concrète à signaler. Le dispositif de reconnaissance faciale testé par les forces de l'ordre de San Diego, en Californie, depuis 2012, a été abandonné fin 2019. L'utilisation de cette technologie par la police a en effet été prohibée, et pour trois ans, dans l'Etat américain.
Utilisé par 30 services de police et de sécurité, par le biais de 1.300 smartphones et tablettes, le dispositif permettait de comparer les visages de suspects à une immense base de données, qui brassait 1,8 million de personnes recherchées. En moins de deux secondes, l'outil s'appuyait sur la forme des oreilles, la couleur de la peau et des cheveux mais aussi la distance entre les deux yeux pour donner son verdict.
Au total, 65.000 visages ont été soumis à cette analyse. Et pourtant, le système n'a mené à aucune arrestation ni poursuite, a fait savoir un porte-parole de la police auprès de Fast Company. Les policiers préfèreraient utiliser le système de reconnaissance des empreintes digitales, dont la base de données est nationale, et non régionale, comme celui associé à la reconnaissance faciale.
Le 23 octobre, celle-ci a rejeté une demande d’audition de Julian Assange déposée par le juge espagnol en charge de l’enquête et qui souhaitait l’entendre en tant que simple « témoin ». Cette requête avait pourtant été déposée via un mécanisme de coopération européen. « La position britannique, sans précédent pour ce type de requêtes judiciaires, est vue par les organismes judiciaires espagnols comme une démonstration de résistance contre les conséquences que ce dossier pourrait avoir sur le processus d’extradition du cyberactiviste australien vers les États-Unis », explique El País.
The rise of the surveillance-based business model has resulted in two companies – Google and Facebook – controlling an architecture of surveillance that has no basis for comparison in human history. This system spans entire continents and touches at least a third of the world’s population. In its current form, the surveillance-based business model is incompatible with the right to privacy and poses a serious threat to a range of other human rights.
Amnesty International
source : @sebsauvage
Les utilisateurs Indiens de Twitter fuient en masse.
La raison ? Si vous émettez la moindre critique du gouvernement, et le compte officiel de la police vous menace de vous coller un procès au cul.
Les utilisateurs sont donc en train de migrer en masse vers l'équivalent libre et décentralisé de Twitter: Mastodon.
C'est bien.
Certaines instances ont gagné 1200 utilisateurs en 24 heures. ^^