317 liens privés
Le tribunal les a suivis sur toute la ligne : tous les FAI auront la liberté de choisir la méthode de blocage la plus appropriée pour bloquer les 57 noms de domaine épinglés par les demandeurs, ni plus, ni moins.
LaTeB victime du #robotcopyright...
Ces gens-là ça ose tout, c'est à ça qu'on les reconnaît
Un policier affecté à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a été placé en garde à vue puis mis en examen le 26 septembre à Nanterre (Hauts-de-Seine). Il se trouve deux jours plus tard en détention provisoire.
[...] appartenant à une division sensible du principal service de renseignement intérieur français, est soupçonné d’avoir monnayé les informations auxquelles il avait accès. Provenant des fichiers confidentiels de police
Mounir Mahjoubi a fait part d'un projet de messagerie publique chiffrée de bout en bout, interne à l’État, et destinée à remplacer Telegram auprès des parlementaires et des ministres.
via @sebsauvage
Le scandale, c'est l'exploitation massive de nos données
Le monde entier se scandalise face à une telle « fuite ». Certains invitent à changer des paramètres de vie privée, quand ce n'est pas supprimer son compte Facebook, d'autres enfin dénoncent le manque d'attention ou d'intérêt de l'utilisateur pour les questions relatives à ses données.
Mais au final, on oublie l'essentiel : ce problème va bien au-delà de la société de Mark Zuckerberg, des réseaux sociaux ou des plateformes en ligne. La question est celle de nos choix dans un monde où une multitude d'acteurs économiques, en ligne ou non, vivent de la collecte et du traitement massif de nos données.
Une situation où l'internaute/utilisateur/citoyen est le plus souvent démuni, n'ayant à sa disposition que des procédures complexes pour faire respecter ses droits. Des droits qui sont en train d'être renforcés, même si les débats qui se tiennent actuellement au Parlement nous montrent une partie loin d'être gagnée.
Car sur le terrain du respect de la vie privée et de la protection de chacun, les oppositions sont encore nombreuses. Elles viennent même parfois de ceux qui critiquent assez facilement Facebook depuis quelques jours.
tout d’abord qu’enregistrer des images utilisables ensuite par les policiers ou les gendarmes dans leurs enquêtes a une efficacité réelle mais très limitée. La présence d’images utiles n’est avérée que dans 1 à 3% du total des enquêtes réalisées dans l’année sur la commune. On peut penser que « c’est toujours ça de pris » mais aussi savoir que c’est très peu et s’interroger sur le rapport coût-avantage.
Deuxièmement, chercher à sécuriser un lieu précis à l’aide de la vidéo (le parking d’une gare où ont lieu beaucoup de vols dans les voitures, ou bien un square où a lieu du deal de drogues) conduit bien à réduire le problème à cet endroit précis mais ne le fait pas disparaître, ça le déplace vers un autre endroit de la ville.
Par ailleurs, employer des agents municipaux (policiers ou ASVP) pour regarder les écrans dans un Centre de supervision urbain (CSU) est à peu près inutile du point de vue de la lutte contre la délinquance. Cette « détection en direct » étant très faible, cela conduit à un détournement du système vers d’autres usages, le plus rentable étant la vidéoverbalisation.