lors des législatives de juin, vingt-cinq candidats socialistes opposés à la ligne du premier secrétaire Olivier Faure, dissidents ou non, se sont affiliés en préfecture, en toute discrétion… au Parti radical de gauche (PRG).
Cette opération coordonnée a conduit à priver le Parti socialiste de plus d’un million d’euros de financement électoral, selon les calculs de Mediapart
« La cour d’appel de Paris a annulé mercredi les mises en examen de la société française Nexa Technologies et de quatre de ses cadres dans l’enquête sur la vente de matériel de cybersurveillance à l’Égypte », révèle l’AFP, qui cite des sources proches du dossier et judiciaire.
La cour d’assises de Paris a acquitté mercredi Alexandre M., qui avait mutilé un syndicaliste hospitalier avec une grenade de désencerclement lors d’une manifestation contre la loi « travail », en septembre 2016. Elle a retenu la légitime défense.
La décision a été prise « par précaution », compte tenu des « risques juridiques encourus », explique maître Yvon Perin, mandataire judiciaire chargé de la liquidation de l’enseigne Camaïeu. « Seuls 20 % des enchérisseurs », qui avaient manifesté leur intérêt en déposant une caution de 50 000 euros, étaient intéressés par le fichier clients, nuance M. Deguines.
une affaire de détournement de frais de mandat parlementaire pour un montant total de 114 000 euros
L'ancien Premier ministre français a été sanctionné par la Cour des comptes espagnole pour avoir accepté des paiements de tiers, afin de financer sa campagne municipale à Barcelone en 2019. Manuel Valls affirme qu'un recours a été déposé.
Meta a intégré des correctifs pour éviter ce siphonnage, mais cela n’a pas empêché la Cnil Irlandaise d’enquêter. Cette dernière, travaillant pour le compte des autres régulateurs, a estimé que la politique de Meta était non conforme à l’article 25 du RGPD. Il précise que « le responsable du traitement met en œuvre les mesures techniques et organisationnelles appropriées pour garantir que, par défaut, seules les données à caractère personnel qui sont nécessaires au regard de chaque finalité spécifique du traitement sont traitées ».
« Aucune donnée biométrique » ne sera utilisée, et il n'y aura pas de reconnaissance faciale aux Jeux Olympiques, confirme le ministère des Sports au Parisien : « le gouvernement vient de trancher, pour éviter un procès en surveillance généralisée », précise son article intitulé « Paris 2024 : pas de reconnaissance faciale aux JO ». Il n'en confirme pas moins le recours à des algorithmes « intelligents » de détection de comportements « suspects ».